La colonne cervicale a de nombreuses interconnexions synaptiques avec le système vestibulaire, le cervelet et les hémisphères cérébraux du cerveau. Une perte de fonction relative à l’une ou plusieurs de ces interconnexions produira une multitude de symptômes qui s’apparentent à ceux d’une commotion cérébrale, sans être toutefois liés à une commotion cérébrale.
Une étude réalisée à la Faculty of Kinesiology’s Sports Injury Prevention Research Center de l’Université de Calgary, et une autre publiée dans le Bristish Journal of Sports Medecine au printemps 2014 font valoir la relation entre la colonne cervicale et le système vestibulaire dans le cadre des symptômes associés à une commotion cérébrale. De plus, une étude récente faite par le Dr John Leddy, professeur d’orthopédie clinique et de médecine sportive à l’Université de Buffalo confirme qu’il est difficile de séparer les symptômes liés à une blessure au cou et ceux liés à une commotion cérébrale et que souvent, les mêmes symptômes sont présents et concomitants.
Dans le traitement de ces deux conditions, le système vestibulaire est un puissant activateur de la fonction cérébrale. Lorsqu’il est stimulé, non seulement plusieurs fonctions cérébrales sont améliorées, mais il en résulte également en une diminution de divers symptômes tels les maux de tête, le manque de concentration, la perte d’équilibre ainsi que la perturbation de la démarche et les troubles de coordination.
Grâce à des interventions de neurologie fonctionnelle, il est possible d’effectuer des stimulations vestibulaires et, en combinaison avec des exercices visuels et d’autres exercices physiques, d’améliorer la fonction synaptique neurologique dans le cerveau. D’autre part, en normalisant la biomécanique vertébrale du cou avec des ajustements chiropratiques, on optimise l’effet de plasticité positif sur le cerveau. Considérant sa grande plasticité, le rétablissement des fonctions et de la structure du cerveau à la suite de traitements en neurologie fonctionnelle est généralement rapide et durable.
Pour en savoir plus, sur comment l’ensemble des soins offerts au Centre du Mieux-Être Optimal peuvent vous aider, consultez notre site internet au www.chiromieuxetre.com
Plusieurs raisons peuvent motiver une personne à vouloir consulter dans le secteur privé pour un problème de santé. Lorsqu’on doit payer pour un service de santé, on s’attend à obtenir une consultation rapide, un service de qualité supérieure et des résultats cliniques qui permettent d’évaluer et de régler notre problème.
Dans le cas d’un mal de dents, par exemple, vous pouvez prendre un analgésique pour soulager la douleur, obtenir d’un médecin une prescription pour un plus puissant analgésique et un antibiotiques, ou consulter un dentiste que vous paierez et qui, en tant que spécialiste de ce domaine de la santé, va identifier et traiter la source du mal de dents afin d’obtenir des résultats efficaces et durables.
Pour un problème de dos, de nerfs coincés ou une blessure musculo-squelettique, vous pouvez vous rendre à l’urgence de l’hôpital ou à une clinique médicale. Généralement, le temps d’attente est interminable avant d’obtenir un diagnostic accompagné d’une prescription pour un analgésique, un anti-inflammatoire ou un relaxant musculaire qui peuvent atténuer la douleur sans toutefois traiter la source du problème qui, même lorsque la douleur disparait, peut réapparaitre soudainement.
L’autre option est de consulter au privé le professionnel de la santé qui a été spécifiquement formé pour traiter ce type de blessures – les docteurs en chiropratique. Vous obtiendrez rapidement une consultation qui, dans une période d’environ une heure, comportera un examen complet et les radiographies nécessaires. Suivi d’un rendez-vous pour un diagnostic, de même qu’un premier traitement de soins intensifs suivi de soins correctifs. Comme le dentiste ou l’optométriste, le chiropraticien est en pratique privée. Selon la nature et la gravité de votre condition, il vous proposera un protocole de traitement non médicamenteux qui aura pour but de soulager rapidement la douleur et l’inflammation dans un premier temps et ensuite de corriger la source du problème puis assurer une réhabilitation efficace et durable tout en évitant le potentiel de récidives.
Pour en savoir plus sur comment l’ensemble des soins offerts au Centre du Mieux-Être Optimal peuvent vous aider, consultez notre site internet au www.chiromieuxetre.com.
La chiropratique n’est pas une médecine alternative. Il s’agit d’une science de la santé reconnue mondialement qui utilise les connaissances approfondies de l’anatomie, la physiologie et la neurologie du corps humain pour maximiser votre potentiel de santé. Cette science insiste tant sur la prévention et la détection précoce de problèmes de santé que sur le traitement des symptômes et de la douleur.
Le chiropraticien suit une formation doctorale universitaire de 5 ans, tout comme le médecin, mais il doit obtenir 245 crédits d’études dans le cadre de sa spécialisation, comparé aux 225 crédits requis en médecine générale et aux 105 crédits en physiothérapie. Son champ d’intervention est neuro-musculo-squelettique et il est qualifié pour poser un diagnostic. Le chiropraticien traite toutes les conditions associées à la colonne vertébrale, il ajuste toutes les articulations du corps et il soigne les troubles neuro-organiques, incluant les problèmes digestifs, sinusites, labyrinthites, vertiges et étourdissements.
Le chiropraticien utilise ses mains ainsi que divers appareils thérapeutiques pour améliorer la fonction ou l’alignement des articulations. Des thérapies complémentaires, telles l’électrothérapie, le laser froid pulsé, la neurocryothérapie, l’ultrason, la diathermie et d’autres équipements, servent à améliorer et à stimuler la physiologie neurale et musculaire pour accélérer le processus de guérison.
Lorsque vous ressentez des douleurs corporelles, plutôt que d’en faire abstraction ou de les masquer en prenant des analgésiques ou des anti-inflammatoires, consultez en chiropratique immédiatement avant que la situation ne s’aggrave.
En plus, en tant que chiropraticienne, Dre Christine Laliberté a suivi de nombreuses formations continues pour mieux soigner la multitude de problèmes de santé qui affligent les personnes qui la consultent.
Près de 25% des femmes et 8% des hommes souffrent de migraines, un mal de tête qui dure entre 4 à 72 heures. Il est unilatéral dans sa localisation, de qualité pulsative, d’intensité modérée à sévère, s’aggrave lors d’activité physique et peux provoquer des nausées ainsi qu’une intolérance à la lumière forte et au son.
L’inflammation des neurones au cerveau et dans le tronc cérébral augmente le potentiel de déclencher une crise migraineuse. En fait, l’inflammation neurogène va accentuer un déséquilibre du métabolisme cérébral préexistant qui est à l’origine de la migraine.
D’autres conditions, telles de fortes émotions, une variation dans le taux d’œstrogènes, le taux d’alcool, le sevrage du café, l’alimentation ou le manque de sommeil provoquent de l’inflammation qui prédisposent le déclenchement d’une migraine.
Si vous êtes sujet aux migraines, il est important d’éviter les substances chimiques alimentaires qui sont propices à les déclencher : aspartame (colas et produits diètes), glutamate mono sodique ou MSG (mets préparés, mets chinois, sauce soya), histamine (produits fermentés), nitrites (charcuteries, hot dog), sulfites (vins, fruits séchés), tanins (vin rouge), tyramine (fromage vieilli) et phényléthylamine (chocolats, noix, agrumes, vinaigre, restes de table).
Il n’existe aucun traitement unique offrant une guérison de cette condition. Il faut d’abord contrôler l’inflammation neurogène, éliminer les éléments déclencheurs et cibler les éléments à changer dans notre mode de vie afin de reprendre le contrôle sur la fréquence, la durée et la sévérité des migraines.
Au Centre Mieux-Être Optimal, nous offrons des traitements de neurologie fonctionnelle pour améliorer la fonction du noyau trigéminé du tronc cérébral ainsi que celui du système vestibulaire. Grâce à des ajustements des deux premières vertèbres cervicales, l’utilisation de pneumo-otoscopie, de micro-courants, de stimulation oculaire de prise des suppléments antioxydants, des exercices de fixation visuelle, de même que des stimulations vestibulaires, il est possible de réduire l’inflammation neurogène du cerveau et traiter les irritations nerveuses qui provoquent la cascade de crise migraineuse.
