EXERCICE AÉROBIQUE ET ANAÉROBIQUE

EXERCICE AÉROBIQUE ET ANAÉROBIQUE

Cette capsule porte sur deux formes d’activité physique très différentes, mais tout aussi importantes l’une que l’autre pour vous tenir en forme : l’exercice aérobique et anaérobique. Les deux formes apportent de nombreux bienfaits non négligeables.

DIFFÉRENCES ENTRE LES 2 FORMES D’EXERCICES

  1. Oxygène : Aérobique signifie « avec oxygène » et anaérobique  « sans oxygène ». Les exercices aérobiques exigent un apport en oxygène ; ils intensifient le rythme et la profondeur de la respiration, ce qui a pour effet d’augmenter l’apport en oxygène. Les exercices anaérobiques ne dépendent pas d’un apport en oxygène et durent moins longtemps. Ces exercices brefs et intenses ne permettent pas d’augmenter l’alimentation en oxygène, ce qui amène le corps à produire de l’acide lactique et provoque une fatigue musculaire plus rapide. Toutefois, les bienfaits de l’exercice anaérobique ne reposent pas sur l’endurance, de sorte que cette réaction n’est pas nocive.
  2. Durée : En général, les exercices aérobiques visent l’endurance et ont donc pour effet de maintenir un rythme cardiaque plus élevé durant une période prolongée. Les exercices anaérobiques sont habituellement plus intenses et nécessitent une bouffée d’énergie sur de courts intervalles de temps.
  3. Rythme cardiaque : Les deux formes d’exercices contribuent à l’accélération du rythme cardiaque : la différence réside dans le niveau et le maintien. De façon générale, les exercices aérobiques augmentent de façon continue le rythme cardiaque à un niveau qui se situe entre 70 et 80 % de votre fré- quence cardiaque maximale. Vous serez essoufflé, mais pas au point d’en perdre le souffle. Par contre, les exercices anaérobiques peuvent vous amener à un niveau de 80 à 90 % de votre fréquence cardiaque maximale, une zone intense que vous ne pouvez maintenir que durant de brèves périodes. Un entraînement anaérobique extrême peut vous pousser à 100 % de votre fréquence cardiaque maximale. Les bienfaits de cette forme d’exercice reposent sur ce que vous accomplissez durant ces bouffées d’intensité.
  4. Dépense énergétique : Lors d’activités aérobiques, votre corps utilise l’oxygène pour décomposer les glucides et les lipides pour y puiser de l’énergie. Si vous avez assez d’énergie et d’oxygène, vous pouvez utiliser vos muscles à une intensité aérobique durant une période prolongée ; vos muscles pourront continuer à se contracter sans avoir besoin de repos. Au contraire, lors d’exercices anaérobiques, l’apport en oxygène est insuffisant pour procurer à votre corps l’énergie dont il a besoin pour maintenir un tel niveau d’intensité. Comme nous l’indiquions au paragraphe 1, l’acide lactique s’accumule dans les muscles, ce qui contribue à leur fatigue et à votre essoufflement.
  5. Bienfaits pour la santé : Les exercices aérobiques sont excellents pour votre santé cardiovasculaire. Ils contribuent également à l’humeur, à la santé mentale, à la souplesse, au maintien du poids et à une diminution des risques de maladie. De leur côté, les exercices anaérobiques favorisent l’augmentation de la masse musculaire maigre et de la densité osseuse. La pratique d’exercices anaérobiques renforce le corps et le prépare pour les activités aérobiques, et vice-versa. Tout bon programme de mise en forme devrait inclure les deux formes d’exercice, pour votre santé physique, votre santé mentale et votre bien-être.

L’IMPORTANCE DES 2 FORMES

Il est important d’intégrer dans votre quotidien des exercices aérobiques et anaé- robiques, afin de renforcer votre système cardiovasculaire, de même que votre colonne vertébrale, vos muscles et votre système nerveux. La Société canadienne de physiologie de l’exercice recommande aux personnes de 18 à 64 ans de faire 150 minutes d’activités aérobiques d’intensité modérée à élevée par semaine, ainsi que des activités de renforcement des muscles et des os au moins deux jours par semaine1 .

TYPES D’EXERCICES À PRATIQUER

  • Exercices aérobiques – Voici quelques exercices aérobiques très simples qui vous sont déjà familiers : course, vélo, marche rapide, danse et la plupart des cours de conditionnement physique de votre gym local.
  • Exercices anaérobiques – Voici quelques exercices anaérobiques courants qui feront travailler vos muscles : sprint, poids et haltères, exercices avec bandes de résistance et entraînement par intervalles.

Pour mieux comprendre les exercices qui vous conviennent, consultez votre chiropraticien ou chiropraticienne de famille.

SAVIEZ-VOUS QUE? Le mot «chiropratique» provient du grec et signifie «fait avec les mains».

Le docteur en chiropratique est un professionnel de la santé de premier contact : vous pouvez donc le consulter sans être recommandé, à part les cas de CNESST et SAAQ.

De par sa formation universitaire, le chiropraticien possède les compétences nécessaires pour poser un diagnostic chiropratique, ce qui lui permettra de créer un programme de soins correspondant à votre condition physique, à votre âge et à vos objectifs de santé.

La chiropratique centre sa philosophie, son art et sa science sur le maintien de l’homéostasie (équilibre) du corps humain et sur sa capacité innée de guérison naturelle. Elle ne se concentre pas uniquement sur les symptômes ou la douleur, mais cherche à identifier et à soigner la cause du problème.

La chiropratique est fondée sur le fait scientifique suivant : le système nerveux impose son contrôle à toutes les cellules, tissus, organes et systèmes du corps. Un dérangement à la colonne vertébrale peut causer des interférences sur le système nerveux et ainsi provoquer des problèmes au niveau de l’équilibre de santé du corps.

La chiropratique vise le recouvrement et le maintien de la santé globale humaine via l’interaction des systèmes nerveux, musculaire et squelettique.

Source et références: Association chiropratique canadienne | chiropratique.ca

1. Société canadienne de physiologie de l’exercice. Directives canadiennes en matière d’activité physique à l’intention des adultes âgés de 18 à 64 ans. http://www.csep.ca/CMFiles/Guidelines/CSEP_PAGuidelines_adults_fr.pdf. Tiré le 5 juin 2017. https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-differences-entre-les-exercices-aerobiques-et-anaerobiques-et-limportance-des-deux/ Consulté le 17-01-18

Association des chiropraticiens du Québec | chiropratique.com | facebook.com/AssoDesChirosQc | twitter.com/AssoChiroQc | blogue.chiropratique.com

SKI DE FOND

SKI DE FOND

Selon le Conseil canadien du ski, en 2015, 4.1% (1 259 000) des Canadiens de 12 ans et plus pratiquaient le ski de fond.  Selon l’Enquête québécoise sur les activités physiques, sportives et de loisirs (2006), on estimait au Québec que chez les 15 ans et plus, près de 12 % des personnes pratiquent le ski de fond au moins une fois par année, parmi lesquels 43 % le font au moins 10 fois et plus par année.  Évidemment, la quantité d’accumulation de neige compte pour beaucoup dans la régionalisation du sport.  Le ski de fond se pratiquant sur neige naturelle, les conditions d’enneigements influencent énormément la pratique dans certaines régions.  Et ce, d’un hiver à l’autre!

LE SKI DE FOND POUR TOUS LES TYPES DE SPORTIFS

Le ski de fond est l’un des sports les plus complets qui soient.  Les jambes, les bras ainsi que le système cardio vasculaire sont sollicités!  C’est un sport de glisse qui ne donne pas d’impact au sol.  Il peut être pratiqué à tous les âges et permet de passer à travers nos hivers tout en ayant chaud!

Au Québec, le calendrier d’événements participatifs et compétitifs connait peu de répit de fin décembre au mois de mars.  On a qu’à penser aux différentes courses ou randonnées de longues distances appelées « Loppet » telles que celle à Gatineau et Orford ou encore le Marathon Canadien de Ski.  Pour les plus jeunes, l’initiation chez les 6 à 9 ans passe par le programme appelé « Jack Rabbit ».  Bref, que vous ayez le goût de vous initier ou de le choisir comme sport d’entrainement hivernal, le ski de fond demeure une activité de prédilection afin de traverser ces mois plus fréquents.

Depuis de nombreuses années, le ski de fond s’est fortement modernisé en termes d’équipement.  Terminée l’ère où ce sport se pratiquait sur des skis de bois avec des fixations à trois trous qui garantissaient des cloches et des ongles douloureux!  Le sport s’est aussi diversifié avec l’arrivée de la technique de pas de patin au milieu des années 80.  La technique classique reste celle pratiquée par la plupart des utilisateurs de sentiers.  Mais lorsque le niveau de conditionnement physique le permet, le skieur peut varier ses sorties en fonction de ses intérêts et conditions climatiques et ainsi ne jamais s’ennuyer en alternant les deux styles de pratiques.

LE SKI DE FOND EST PEU RISQUÉ…

Règle générale, la pratique du ski de fond comporte peu de risque.  Selon l’Étude des blessures subies au cours de la pratique d’activités récréatives et sportives au Québec en 2009-2010 de l’Institut National de Santé Publique, 710 000 Québécois (6-74 ans) ont pratiqué le ski de fond au moins une fois en 2009-2010.  Ce qui correspond à 11 % de la population de la saison de référence.  Toujours selon cette étude, le tableau répertoriant le taux de blessures des différents sports n’indique même pas la pratique du ski de fond parmi les 20 principaux sports à risque de blessures!

… MAIS SOYEZ PRUDENTS!

Néanmoins, la pratique d’un sport de glisse demande certaines précautions.  Les fondeurs de tous âges peuvent être à risque d’avoir des douleurs au dos.  En style classique, la phase de propulsion de la jambe vers l’arrière provoque une hyperextension du dos (le dos s’arque vers l’arrière).  Les articulations peuvent donc s’irriter.  En technique de double-poussée de bras, la répétition de la flexion-extension du tronc peut être exigeante sur la colonne vertébrale.  La non-utilisation des jambes demande une poussée forte et puissante.  Autre exemple, le fait de manquer d’adhérence lorsque les skis ne sont pas parfaitement cirés ou que les conditions sont trop chaudes ou glacées demande beaucoup de souplesse aux muscles de la hanche.  Ce manque d’adhérence soudain peut causer de nombreuses douleurs au skieur.

BLESSURES FRÉQUENTES EN SKI DE FOND

En clinique chiropratique, on observe notamment des tendinites achilléennes qui peuvent se présenter à l’arrière du talon puisque les mollets sont fortement sollicités et encore davantage dans les montées.  De plus, un phénomène d’adaptation musculaire est bien connu des fondeurs; la typique douleur à l’aine, souvent mentionnée en début de saison ou parmi les gens pratiquant sporadiquement le sport.  Au niveau de l’épaule, il faut surveiller les lésions dites « d’accrochage » pouvant mener à des tendinites de la coiffe des rotateurs.  Sur le plan traumatique, les pathologies aiguës sont observées surtout sur neige dure et glacée et dans les descentes puisque le risque de chute s’en trouve augmentée.  On pense alors aux poignets, aux épaules ou au bassin particulièrement qui sont plus exposés à des lésions osseuses.

APPROCHE CHIROPRATIQUE POUR LES FONDEURS

La chiropratique, par son orientation de soins neuro-musculo-squelettiques, devient une alternative de choix pour tous ceux qui s’adonnent au ski de fond.  Afin de bien soigner une région musculo-squelettique, il faut un bon diagnostic de la problématique.  Les soins doivent être des plus spécifiques afin d’aider le corps à se rétablir le plus rapidement possible.  le chiropraticien est un professionnel de la santé spécialement formée pour un diagnostic chiropratique de la condition et corriger les anomalies des mouvements vertébraux et des autres articulations.  Il peut vous aider dans vos lésions musculaires et peut vous donner des exercices afin de minimiser les risques de rechutes.  Ses  soins prodigués sur certaines articulations vertébrales, du bassin, de la hanche ou de l’épaule permettent aux fondeurs d’exercer leur passion avec le minimum d’inconfort et le maximum d’efficacité!

SAVIE-VOUS QUE?

Le mot « chiropratique » provient du grec et signifie « fait avec les mains ».  Le docteur en chiropratique est un professionnel de la santé de premier contact; vous pouvez donc le consulter sans être recommandé, à part les cas de CNESST et SAAQ.  De par sa formation universitaire, le chiropraticien possède les compétences nécessaires pour poser un diagnostic chiropratique, ce qui lui permettra de créer un programme de soins correspondant à votre condition physique, à votre âge et à vos objectifs de santé.  La chiropratique centre sa philosophie, son art et sa science sur le maintien de l’homéostasie (équilibre) du corps humain et sur sa capacité innée de guérison naturelle.  Elle ne se concentre pas uniquement sur les symptômes ou la douleur, mais cherche à identifier et à soigner la cause du problème.  La chiropratique est fondée sur le fait scientifique suivant: le système nerveux impose son contrôle à toutes les cellules, tissus, organes et système du corps.  Un dérangement à la colonne vertébrale peut causer des interférences sur le système nerveux et ainsi provoquer des problèmes au niveau de l’équilibre de santé du corps.  La chirorpatique vise le recouvrement et le maintien de la santé globale humaine via l’interaction des systèmes nerveux, musculaire et squelettique.

Collaboration spéciale du Conseil Chiropratique des Sciences du sport du Québec | ccssq.ca

Sources et références: Association des chiropraticiens du Québec | chiropratique.com | Facebook.com/AssoDesChirosQC | twitter.com/AssoChiroQc | blogue.chiropratique.com | https://www.skicanada.org/wp-content/uploads/2016/01/2014-15-Faits-et-statistiques.pdfConsulté le 17-01-18.  http://rseq.ca/media/844914/etudeblessuresrecreasportqc2009-2010.pdfConsulté le 17-01-18

RETOUR AU JEU APRÈS UNE COMMOTION

RETOUR AU JEU APRÈS UNE COMMOTION

La commotion est une forme de blessure courante qui affecte de cinq à dix pour cent des athlètes. Ses symptômes peuvent être ignorés par les joueurs, les entraîneurs et les parents, il reste qu’une commotion est une lésion traumatique au cerveau qui doit être prise au sérieux afin d’en prévenir les conséquences à long terme. Les athlètes doivent se soumettre à un examen adéquat (adapté à leur cas) immédiatement après la blessure.

DÉFINITION DE LA COMMOTION CÉRÉBRALE ET SES CONSÉQUENCES POUR L’ATHLÈTE

 
En général, une commotion est le résultat d’un trauma direct ou indirect qui provoque des saignements internes, des ecchymoses, des lésions aux tissus, l’augmentation de la pression intracrânienne ou l’accumulation de liquide. Une commotion peut même altérer le fonctionnement normal du cerveau. La blessure peut entraîner des symptômes cognitifs, physiques et émotionnels : problèmes de concentration, amnésie, céphalées, étourdissements et fatigue notamment. Les effets à long terme sont souvent liés à des changements dans le fonctionnement du système nerveux. Une solide évaluation des blessures aide à établir un plan de traitement adéquat qui contribue à un meilleur rétablissement. Il faut aussi prendre en compte que l’athlète peut souffrir de blessures musculosquelettiques connexes, causées par le choc. Le traitement conjoint par un chiropraticien, membre de l’équipe de soins, s’avère alors bénéfique. 
Compte tenu des risques d’effets à long terme d’une commotion, il est essentiel que les athlètes, les entraîneurs, les parents et les professionnels de la santé prennent le problème très au sérieux. Il faut savoir qu’un retour rapide au jeu n’est pas toujours indiqué, de nombreux athlètes ont besoin de plus de temps pour se rétablir, surtout s’ils ont souffert de plusieurs commotions. 

LE RETOUR AU JEU APRÈS UNE COMMOTION

L’accès à une expertise, à des soins et à des ressources solides peut orienter la reprise progressive des activités physiques habituelles et contribuer à minimiser les risques de syndrome post-commotion et de symptômes persistants. Selon le Consensus de Zurich sur les commotions cérébrales, il est recommandé aux athlètes de suivre les cinq étapes de réadaptation:

  • Le protocole de retour au jeu prévoit une période sans activité, un repos physique et cognitif jusqu’à la disparition des symptômes.
  • L’athlète peut ensuite reprendre des exercices aérobiques légers (marche, natation, etc.) afin d’accroître la fréquence cardiaque, puis des exercices spécifiques à son sport afin de réintroduire les mouvements habituels (patinage, course, etc.).
  • Selon ses progrès, l’athlète passe ensuite à un entraînement sans contact, plus intense et plus complexe, destiné à retrouver sa coordination.
  • Enfin, avant le retour au jeu, l’athlète participe aux entraînements avec plein contact, qui permettent d’évaluer ses aptitudes fonctionnelles dans le cadre d’un entraînement normal plus intense.
  • Si l’athlète présente des signes de récurrence des symptômes à l’une de ces étapes, il doit reprendre le processus depuis le début et rester inactif jusqu’à la disparition de ces symptômes.
  •  
    Il est important que chacun soit parfaitement au courant de ce processus de rétablissement, afin d’assurer à l’athlète un retour au jeu sécuritaire. Rappelons qu’une équipe de soins de santé, qui inclut un chiropraticien, peut faciliter le partage
    d’information et l’élaboration d’un plan de retour au jeu. Comme athlète, vous pourrez ainsi vous épanouir de nouveau dans votre sport.
    Par ailleurs, en plus de la disparition des symptômes, il est important avant le retour au jeu que l’athlète commotionné ne prenne aucune substance pharmacologique ni médicament qui risque de masquer ou de modifier les symptômes de la commotion cérébrale. En fait, avant de reprendre ses activités, il doit pouvoir accomplir ses tâches courantes sans recours aux médicaments. Dans les rares cas où la période de rétablissement excède la norme (environ dix jours), l’athlète devrait
    être pris en charge par une équipe multidisciplinaire de professionnels de la santé qui possèdent une expérience des commotions cérébrales de nature sportive.
     
    Comme pour toute blessure à la tête, il est important de prendre toutes les mesures pour assurer une reprise sans risque de l’entraînement. Bien que la période habituelle de rétablissement soit de dix jours, elle peut s’avérer beaucoup plus longue pour des raisons de sécurité, en particulier chez les athlètes victimes de plus d’une commotion cérébrale. Le nombre de commotions cérébrales subies par un athlète peut le rendre plus vulnérable aux troubles cognitifs. C’est pourquoi il est si important que l’athlète soit totalement rétabli de sa commotion avant de retourner au jeu. Les chiropraticiens peuvent aider les athlètes qui ont subi des blessures musculosquelettiques en lien avec une commotion cérébrale à reprendre leurs activités sportives. Les chiropraticiens sont formés pour évaluer, diagnostiquer et traiter les blessures de nature sportive.

    LA CHIROPRATIQUE SPORTIVE

    LA CHIROPRATIQUE SPORTIVE

    LES SOINS CHIROPRATIQUES ADAPTÉS AUX SPORTIFS

    Les chiropraticiens possèdent une formation et des compétences qui leur permettent de fournir des soins aux sportifs de tous les niveaux. Avec leurs connaissances approfondies du système neuro-musculosquelettique, les chiropraticiens sont à même d’évaluer, diagnostiquer et traiter la plupart des problèmes reliés à la pratique d’activités physiques. La formation des chiropraticiens en matière de manipulations vertébrales et périphériques  ajustements) font des chiropraticiens des professionnels de choix pour le traitement et la prévention des blessures sportives. Accompagnés de recommandations d’exercices spécifiques, les soins chiropratiques permettent de restaurer la fonction mécanique, de favoriser le contrôle neuromusculaire et de faciliter les fonctions proprioceptives.

    L’ÉQUIPE

    Dans un contexte d’interdisciplinarité, les chiropraticiens travaillent en équipe et communiquent facilement avec les autres professionnels entourant l’athlète, accélérant le retour à la santé et le retour au jeu.

    Votre chiropraticien, votre allié santé!
    Consultez-le pour des conseils avant de débuter une nouvelle activité physique.

    LA PRÉVENTION

    En plus d’offrir des soins thérapeutiques des blessures, les chiropraticiens du sport ont la capacité d’évaluer la biomécanique du corps dans son ensemble, permettant le dépistage de conditions pouvant être à l’origine de problèmes éventuels. Ce volet préventif diminue grandement les chances de blessures et contribue à l’amélioration des performances et de la santé.

    PROGRAMME COURT EN CHIROPRATIQUE SPORTIVE

    Un programme court de cycle supérieur propose aux chiropraticiens l’acquisition de connaissances et de compétences complémentaires à leur formation initiale et menant au développement d’une expertise spécifique à la démarche chiropratique en milieu sportif. Cette formation est arrimée aux plus récents développements dans le domaine des soins chiropratiques s’adressant aux athlètes. De plus, elle prépare le chiropraticien au travail sur le terrain facilitant son intégration à une équipe de soins multidisciplinaires, soit lors de la tenue de compétitions ou d’évènements, soit dans cadre d’une présence régulière auprès de clubs sportifs de tout niveau.

    OBJECTIFS SPÉCIFIQUES

    • Connaissance avancée des mécanismes de blessures sportives et des soins à apporter aux athlètes.

    • Permettre au professionnel d’adapter son mode d’intervention au contexte particulier des interventions sur le terrain (par rapport à une pratique clinique).

    • Favoriser le développement de compétences permettant d’adapter son mode d’intervention au contexte particulier du travail sur le terrain, et du travail en multidisciplinarité.

    • Améliorer les habiletés de communication du chiropraticien afin de faciliter les échanges interprofessionnels et les échanges avec les athlètes.

    • Renforcir la position du chiropraticien dans son rôle de premier répondant et amènera des notions de prévention et d’amélioration de la performance afin de faciliter la collaboration avec les entraîneurs.

    Pour plus d’informations, veuillez visiter: https://oraprdnt.uqtr.uquebec.

     

    SAVIEZ-VOUS QUE?

    Le mot «chiropratique» provient du grec et signifie «fait avec les mains». Le docteur en chiropratique est un professionnel de la santé de premier contact : vous pouvez donc le consulter sans être recommandé, à part les cas de CNESST et SAAQ. De par sa formation universitaire, le chiropraticien possède les compétences nécessaires pour poser un diagnostic chiropratique, ce qui lui permettra de créer un programme de soins correspondant à votre condition physique, à votre âge et à vos objectifs de santé. La chiropratique centre sa philosophie, son art et sa science sur le maintien de l’homéostasie (équilibre) du corps humain et sur sa capacité innée de guérison naturelle. Elle ne se concentre pas uniquement sur les symptômes ou la douleur, mais cherche à identifier et à soigner la cause du problème. La chiropratique est fondée sur le fait scientifique suivant : le système nerveux impose son contrôle à toutes les cellules, tissus, organes et systèmes du corps. Un dérangement à la colonne vertébrale peut causer des interférences sur le système nerveux et ainsi provoquer des problèmes au niveau de l’équilibre de santé du corps. La chiropratique vise le recouvrement et le maintien de la santé globale humaine via l’interaction des systèmes nerveux, musculaire et squelettique.